mardi 6 décembre 2011

Ceci est une Page. Aime la. Partage la.


Il y a un tas de choses que j’ai commencé dans la vie, sans jamais avoir pu finir :
- Relations amicales.
- Etudes.
- Lableli.
- Articles sur mon blog.


Il y a un tas d’articles que j’ai commencé sans avoir pu finir, victime d’un manque d’inspiration tellement profond, que même ma plume en avait la chair de poule. Des idées qui commencent mais qui ne finissent pas.
Car l’inspiration est comme la pluie, elle vient sans prévenir et repart de la même façon, que tu sois au volant de ta voiture, sous ta couette, ou aux toilettes… sous la douche.
Elle irrigue les fleuves asséchés de l’écriture. Et il y a même des saisons où elle ne vient pas du tout, et c’est généralement la traversée du désert.

Combien de paragraphes orphelins gisent misérablement dans mon cahier poussiéreux ? Combien de ratures ont cicatrisé mes pages ? Combien d’articles sont restés inachevés ?
Je voulais écrire un article sur les bienfaits de l’inspiration, mais je l’ai perdu au bout du 1er paragraphe. J’ai commencé un article sur la cigarette, mais je n’ai pas eu le souffle de le finir. Je voulais écrire un article sur la procrastination, mais j’ai laissé ça pour demain. Je voulais publier un article avec des connotations sexuelles, mais j’ai laissé tombé l’article était trop dur, en plus trop long. Je voulais écrire un article sur la vengeance, mais je n’avais pas le temps. J’ai commencé à écrire un article sur le Snobisme, mais je me suis rendu compte que je valais mieux que ça. Je voulais écrire un article sur la politique, mais je suis un très mauvais menteur. Je voulais écrire un article sur la censure, mais bon, bah voilà quoi ! Je voulais écrire un article destiné à l’amour, mais l’amour est aveugle, et je ne maitrise pas le braille. Je voulais écrire un article sur la vie, mais je me suis rendu compte que je n’en avais pas.

Mais ce que je ferai toujours, c’est de narrer l’actualité comme le feraient les Guignols sur Canal+. Mon blog est le bouton d’acné sur le nez rouge d’un clown, il est le sketch de Lotfi Abdelli dans un meeting d’Ennahdha. Il est le sociologue insociable, le philosophe en herbe - hallucinogène, le mathématicien qui ne compte sur personne, le politicien sans parti.

Le voilà aujourd’hui, décidé d’infester l’endroit où l’on a habillé la vérité d’un tissu de mensonges, cousu avec le fil… d’actualité. J’ai nommé Facebook : Hamdi Hechmi a bien une « Fan Page », pourquoi pas mon blog ?
Et j’ai l’impression d’être une Rockstar virtuelle, depuis qu’on m’envoie des soutiens par message Facebook. Mais bon, « Fan » est un grand mot pour un petit blog qu’est le mien, au terme « Fan Page » je préfère le suivant : « la Page regroupant les personnes qui comprennent mes efforts d’écriture et apprécient le mouvement de ma plume » et c’est la seule page que je ne tournerai jamais.
Rejoignez-là, et soyez à la page.

Mais laisse moi rappeler une règle fondamentale, malgré tous les « Like » auxquels on me prédestine : Pour réussir, c’est sur les journaux et pas sur Facebook qu’il faut être à la Une.

Aime ma Page quand même stp...

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